Dans ce solo abrupt et caustique où l’on se perd et se pend dans les airs, on retrouve l’Ophélie de Shakespeare que la rivière n’a pas gardée et qui alors se redresse. Inspirée par Marguerite Duras, Heiner Müller, Francesca Woodman et Ana Mendieta, Justine Bernachon interroge la représentation du corps féminin, à la fois forte et lascive, féroce et victime sur son trapèze. Est-on sorcière ou soumise, Ophélie ou Hamlet ?
de et avec : Justine Bernachon-Irisarri, trapèze
Justine Bernachon est accueillie en résidence pour la saison 23