Évènement
Soirées 100% doc au Forum des images - Octobre 2024
Du mardi 1er au mardi 29 octobre 2024
Tous les mardis, 2 documentaires à découvrir au Forum des images, en présence des équipes des films.
Programmation du mois d'Octobre :
• Mardi 1er octobre :
Documentaire sur grand écran
18h30 : Sur les cimes, tout est calme, de Angela Ricci Lucchi et Yervant Gianikian
Images d’archives des batailles dans les Alpes entre soldats italiens et autrichiens durant la Première Guerre mondiale, parmi lesquelles les négatifs et les positifs originaux d’un pionnier du cinéma de guerre, Luca Comerio.
Images d’archives des batailles dans les Alpes entre soldats italiens et autrichiens durant la Première Guerre mondiale, parmi lesquelles les négatifs et les positifs originaux d’un pionnier du cinéma de guerre, Luca Comerio.
Présenté par Sébastien Ronceray (président de l’association Braquage)
Sur les cimes, tout est calme, de Angela Ricci Lucchi et Yervant Gianikian
Crédit photo :
@Collection Christophel
20h30 : Se souvenir d’une ville, de Jean-Gabriel Périot
Pendant le siège de Sarajevo, de jeunes cinéastes se sont mis à filmer. Des images pour témoigner, sauvegarder de leur vie dans la guerre.
Trente ans après, dans une ville en paix, ils se revoient, revoient leurs films.
Pendant le siège de Sarajevo, de jeunes cinéastes se sont mis à filmer. Des images pour témoigner, sauvegarder de leur vie dans la guerre.
Trente ans après, dans une ville en paix, ils se revoient, revoient leurs films.
Séance suivi d'un débat
Avant-première en présence du réalisateur.
Avant-première en présence du réalisateur.
Se souvenir d’une ville, de Jean-Gabriel Périot
Crédit photo :
© Alter Ego Production
• Mardi 8 octobre :
19h : Des cris déchirent le silence, de Natacha Thiéry
Un activisme inédit se déploie sur les murs par des collages au code graphique identique, saisis en quatre années de luttes féministes et antifascistes (fin 2019-fin 2023). Gestes politiques, individuels et collectifs, cris de révolte contre le patriarcat systémique, ils modifient à vue l’espace public comme les subjectivités.
Un activisme inédit se déploie sur les murs par des collages au code graphique identique, saisis en quatre années de luttes féministes et antifascistes (fin 2019-fin 2023). Gestes politiques, individuels et collectifs, cris de révolte contre le patriarcat systémique, ils modifient à vue l’espace public comme les subjectivités.
Projection suivie d’un débat avec la réalisatrice Natacha Thiéry
Film sélectionné au festival Cinéma du Réel en 2024.
Film sélectionné au festival Cinéma du Réel en 2024.
Des cris déchirent le silence, de Natacha Thiéry
Crédit photo :
© N. Thiéry
21h15 : Libera Me, de Alain Cavalier
Dans un régime totalitaire pratiquant torture et arrestations, la résistance s’organise.
Poursuivant l’épure stylistique entamée avec Thérèse, Cavalier livre un manifeste sans parole contre l’oppression.
Dans un régime totalitaire pratiquant torture et arrestations, la résistance s’organise.
Poursuivant l’épure stylistique entamée avec Thérèse, Cavalier livre un manifeste sans parole contre l’oppression.
Libera Me, de Alain Cavalier
Crédit photo :
@Collection Christophel
• Mardi 15 octobre : Reprise du palmarès 2023 du festival Fenêtres sur le Japon
Le festival de films documentaires Fenêtres sur le Japon est né d’un constat : il existe entre sciences sociales et films documentaires une série de liens et de croisements. Les deux proposent en effet un regard sur le monde social à partir d’un « travail de terrain ».
18h30 : Tokyo Uber Blues, de Taku Aoyagi
Avec la pandémie de Covid-19, Aoyagi Taku, diplômé endetté, ne trouve pas d’emploi. Il se rend à Tokyo pour travailler et filme son quotidien de livreur à vélo Uber Eats, en pleine crise sanitaire. Ce faisant, il interroge les nouvelles formes d’asservissement du « capitalisme de plateforme » et leur impact sur les rapports sociaux.
Avec la pandémie de Covid-19, Aoyagi Taku, diplômé endetté, ne trouve pas d’emploi. Il se rend à Tokyo pour travailler et filme son quotidien de livreur à vélo Uber Eats, en pleine crise sanitaire. Ce faisant, il interroge les nouvelles formes d’asservissement du « capitalisme de plateforme » et leur impact sur les rapports sociaux.
Présenté par Dimitri Ianni et Nicolas Pinet, coorganisateurs du festival
Suivi d’un débat avec Patrick Cingolani, professeur de sociologie.
Suivi d’un débat avec Patrick Cingolani, professeur de sociologie.
Tokyo Uber Blues, de Taku Aoyagi
Crédit photo :
@Collection Christophel
21h15 : Kurdes de Tokyo, de Fumiari Hygua
Au Japon, obtenir le statut de réfugié est extrêmement difficile (taux d’acceptation de 0,4 % en 2019). Ce documentaire, fruit de cinq ans d’entretiens, suit le parcours de deux jeunes demandeurs d’asile kurdes : Özhan et Ramazan. Le premier travaille illégalement dans la démolition de bâtiments. Son ami, jeune bachelier plein d’optimisme, souhaite devenir interprète.
Au Japon, obtenir le statut de réfugié est extrêmement difficile (taux d’acceptation de 0,4 % en 2019). Ce documentaire, fruit de cinq ans d’entretiens, suit le parcours de deux jeunes demandeurs d’asile kurdes : Özhan et Ramazan. Le premier travaille illégalement dans la démolition de bâtiments. Son ami, jeune bachelier plein d’optimisme, souhaite devenir interprète.
Présenté par Nicolas Pinet, sociologue
Suivi d’un débat
Suivi d’un débat
Kurdes de Tokyo, de Fumiari Hygua
Crédit photo :
@Collection Christophel
• Mardi 22 octobre :
18h30 : Mauvaises filles, de Emérance Dubas
Édith, Michèle, Éveline et Fabienne ont été placées, mineures, en maison de correction. Pour la première fois, chacune raconte son histoire et révèle le sort bouleversant réservé aux pensionnaires de la Congrégation du Bon Pasteur.
Édith, Michèle, Éveline et Fabienne ont été placées, mineures, en maison de correction. Pour la première fois, chacune raconte son histoire et révèle le sort bouleversant réservé aux pensionnaires de la Congrégation du Bon Pasteur.
Mauvaises filles, de Emérance Dubas
Crédit photo :
© Les Films de l'Oeil Sauvage
20h30 : Avant-première de reprise : When We Were Kings, de Leon Gast
Kinshasa, 30 octobre 1974. Mohammed Ali, champion du monde de boxe, affronte George Foreman de dix ans son cadet. Événement considérable, ce combat historique est aussi l’occasion d’un concert mythique réunissant artistes africains et afro-américains.
Kinshasa, 30 octobre 1974. Mohammed Ali, champion du monde de boxe, affronte George Foreman de dix ans son cadet. Événement considérable, ce combat historique est aussi l’occasion d’un concert mythique réunissant artistes africains et afro-américains.
Oscar du Meilleur film documentaire 1996
Version restaurée
Version restaurée
When We Were Kings, de Leon Gast
Crédit photo :
© Splendor films
• Mardi 29 octobre :
19h : Dans le silence et dans le bruit, de Hadrien Mossaz et Clément Roussier
C’est un lieu à l’abri du monde, où les un·es et les autres ont trouvé refuge.
Une immersion sensible, entre documentaire et fiction, issue d’un atelier de création avec les pensionnaires de la clinique de la Chesnaie.
C’est un lieu à l’abri du monde, où les un·es et les autres ont trouvé refuge.
Une immersion sensible, entre documentaire et fiction, issue d’un atelier de création avec les pensionnaires de la clinique de la Chesnaie.
Grand Prix compétition française, FID Marseille 2023
Dans le silence et dans le bruit, de Hadrien Mossaz et Clément Roussier
Crédit photo :
@Collection Christophel
20h30 : Délits flagrants, de Jean-Gabriel Périot
Dans les locaux du Palais de justice, à Paris, la caméra de Raymond Depardon filme les auditions de personnes interpellées en flagrant délit, avant leur comparution.
Dans les locaux du Palais de justice, à Paris, la caméra de Raymond Depardon filme les auditions de personnes interpellées en flagrant délit, avant leur comparution.
César 1995 du Meilleur documentaire
Délits flagrants, de Jean-Gabriel Périot
Crédit photo :
@Collection Christophel
Les Rendez-vous documentaires du Forum des images :
1. 100% Doc :
Rendez-vous hebdomadaire : chaque mardi.
Le cinéma documentaire, genre cinématographique aux formes et aux écritures multiples, occupe une place de choix dans la programmation. Chaque mardi, deux séances y sont consacrées. Ces soirées 100 % doc réunissent œuvres patrimoniales, avant-premières, films inédits en salle et rencontres avec les cinéastes.
Le cinéma documentaire, genre cinématographique aux formes et aux écritures multiples, occupe une place de choix dans la programmation. Chaque mardi, deux séances y sont consacrées. Ces soirées 100 % doc réunissent œuvres patrimoniales, avant-premières, films inédits en salle et rencontres avec les cinéastes.
2. Documentaire sur grand écran
Rendez-vous mensuel : le premier mardi du mois
Le premier mardi du mois, carte blanche est donnée à l'association Documentaire sur grand écran. Il y a trente ans, ce nom choisi sonnait comme un slogan pour la toute jeune association. Aujourd’hui, si la vitalité et la créativité de ce jeune cinéma n’est plus à prouver, sa diffusion sur grand écran reste un ardent défi.
Le premier mardi du mois, carte blanche est donnée à l'association Documentaire sur grand écran. Il y a trente ans, ce nom choisi sonnait comme un slogan pour la toute jeune association. Aujourd’hui, si la vitalité et la créativité de ce jeune cinéma n’est plus à prouver, sa diffusion sur grand écran reste un ardent défi.
3. Centre audiovisuel Simone de Beauvoir
Rendez-vous ponctuel.
À l’occasion de plusieurs soirées au cours de la saison, le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir présente des films issus de son fonds de documentaires internationaux sur l’histoire, les droits et la création des femmes et des LGBTQ+. Des projections en présence des réalisateur·ices et suivies d’un débat.
À l’occasion de plusieurs soirées au cours de la saison, le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir présente des films issus de son fonds de documentaires internationaux sur l’histoire, les droits et la création des femmes et des LGBTQ+. Des projections en présence des réalisateur·ices et suivies d’un débat.
Mise à jour le 02/10/2024
À lire aussi
Sélections
Sélections
Vous ne connaissez toujours pas ?
Sélection des bons plans intemporels, mais qui valent le coup toute l'année !
