Considéré comme le « Godard israélien », icône de la bohème de Tel-Aviv et de la culture israélienne laïque, le cinéaste Uri Zohar (1935-2022) avait provoqué un choc à la fin des années soixante-dix, devenant rabbin ultra-orthodoxe et reniant son passé cinématographique.
Un an après son décès, le mahJ rend hommage à cet acteur et réalisateur à l’inventivité et à la sensibilité hors pair, en projetant l’un de ses films les plus célèbres, Trois jours et un enfant, primé au festival de Cannes en 1967, ainsi qu’Uri Zohar : le retour, documentaire inédit en France dans lequel Zohar, 83 ans, avait accepté de revenir sur sa vie et son œuvre.
En partenariat avec Malavida Films.