Les œuvres choisies cette année

• Claire Baglin - En salle, éd. Minuit. Ce roman entremêle le récit d’une jeune femme d'un premier job dans un fastfood, avec celui de son enfance.

• Anthony Passeron - Les enfants endormis, éd. Globe. Un premier roman qui mêle habilement l’histoire générale du sida à l’histoire intime et familiale d’Anthony Passeron, l’auteur a marqué cette rentrée littéraire.
  

• Polina Panassenko - Tenir sa langue, éd. de l’Olivier. L’autrice aborde avec une vivacité réjouissante la question de l'exil, et de l'identité, à travers le récit de l'action qu'elle a menée en justice pour retrouver son prénom d'origine.

• Laurence Potte-Bonneville - Jean-Luc et Jean-Claude, éd. Verdier. Un beau texte sur l'amitié, le handicap, un texte à la fois drôle et touchant. Avec beaucoup d’humour l’autrice fait apparaître, les failles d'un système, d'une société qui rejette les marginaux.

• Maria Larrea - Les gens de Bilbao naissent où ils veulent, éd. Grasset. Un roman qui dessine dans un premier volet le portrait de personnages déstructurés par l’abandon dans le contexte de la dictature franquiste en 1943 au Pays basque espagnol. Et dans la seconde partie, il offre un contrepoint contemporain en suivant la narratrice Maria, mise en doute sur la véritable identité de son père. Elle se lance alors dans une quête des origines.

Le Prix des lecteurs