Dans la vraie vie, Mickaël Délis a été donneur de sperme.
C’est pour lui l’occasion de se questionner sur le rôle du père dans la société
et dans la cellule familiale, sur l’absence du sien et plus largement sur la
transmission. Toujours à mi-chemin entre autobiographie et quête universelle,
ce dernier volet intelligent, sensible et terriblement drôle déconstruit les
stéréotypes sans jamais être moralisateur.
Un moment
libérateur qui fait du bien et éclaire avec justesse ce qui nous relie : la
filiation et le don.