La planète souffre de mille maux. Les sols s’épuisent. Les forêts brûlent. L’air devient irrespirable. La biodiversité
se réduit de jour en jour. Et voilà que les pandémies nous isolent
quand elles ne nous tuent pas. Que faire ? Faut-il crier « Tous aux
abris ! » ? Revenir à la terre ? Cultiver ses propres tomates ? La
scène, le théâtre, jouer :
cela a-t-il encore du sens ? Ne vaut-il pas mieux contempler la lenteur
extatique de l’escargot ou réapprendre à utiliser notre télencéphale à
des fins plus utopiques ?
Partant de leurs propres réactions face au chaos globalisé, leurs
investigations les conduisent sur les pistes les plus étranges croisant
en chemin Prométhée, Jean de Florette, Hamlet ou encore des
chercheur·se·s inspiré·e·s comme Claude et Lydia Bourguignon.
Du lundi au vendredi à 20h.
Texte et mise en scène Thomas Scimeca, Anne-Elodie Sorlin & Maxence Tual
Avec Lola Blanchard, Thomas Scimeca, Anne-Elodie Sorlin & Maxence Tual
Direction technique Nicolas Barrot
Création lumière Bruno Marsol
Créateur sonore Isabelle Fuchs
Scénographie Constance Arizzoli
Coproduction Nanterre-Amandiers – Centre dramatique
national, Comédie de Caen – Centre dramatique national de Normandie,
Paris L’Été, Le Théâtre Sorano
Jamais labour n’est trop profond bénéficie de l’aide au projet de la
DRAC Île-de-France et de l’aide à la diffusion d’oeuvres sur le
territoire parisien de la Mairie de Paris
Avec le soutien de La Ménagerie de Verre, Le Théâtre de L’Aquarium, Scènes du Golfe, Le Monfort Théâtre