Dans les traditions populaires, le rossignol annonce le printemps, mais il est aussi, et surtout, l’allégorie poétique des origines de la musique. Par son chant vigoureux, il incarne le lyrisme, l’exaltation amoureuse et le jaillissement de la nature. Le rossignol chante aussi la nuit. Soliste des plaines endormies, il libère alors dans l’âme des hommes, la rêverie nocturne.
Pour sa troisième Nuit du rossignol, le Musée de la musique se transforme en une volière féerique.
Au cœur de la collection, un parcours de concerts, DJ sets, projection et installation, dévoile la puissance de l’imaginaire jailli du chant des oiseaux, et souligne la richesse d’un patrimoine sonore aujourd’hui menacé.
La programmation se déploie dans les différents espaces du Musée de la musique mais également dans l'Amphithéâtre et la Rue musicale qui accueillera le temps d'un soir un bar éphémère.
Chaque concert est joué plusieurs fois dans la soirée. À chacun de composer librement son parcours.