Le carnaval continue à la Collective parisienne …
Avec son appareil photo, elle a plongé dans celui de Notting Hill, à Londres, à la fin des années 1970 : depuis lors, les carnavals de toute la planète aimantent Brenda Turnnidge. Et la photographe se jette chaque fois avec délectation dans les atmosphères les plus ardentes, elle en capte toute la frénésie, parfois la folie.
Salvador de Bahia est un des points d’orgue de sa quête. En effet, dans ce Nordeste brésilien, l’événement se veut populaire, moins officiel qu'à Rio. Ce sont des groupes, les blocos afros et les afoxés, qui revendiquent leur négritude, mais aussi des Japonais arrivés tout droit de Tokyo pour oublier l'esthétique rigide des matsuri (fêtes japonaises) et se transformer en rois des percussions. Ce sont aussi les « fils de Gandhi », en blanc et bleu, dansant la non-violence. Brenda Turnnidge les photographie en noir et blanc… pour mieux en faire ressentir la couleur !
Bienvenue dans le plus grand carnaval du monde, où plus de deux millions de participants dansent jusqu’au bout de la nuit dans des costumes exubérants !
La Collective parisienne, c'est un café solidaire, un établissement associatif, sans but lucratif, organisé pour être un lieu de vie, de rencontres, de convivialité et de créativité.
La Collective parisienne : 70 rue François Miron, 75004 Paris