En janvier, "
Le Japon, Mishima et moi" se clôt avec le cinquième et dernier chapitre "
Mishima samouraï" qui permet de saisir à travers l’éthique du samouraï, une voie nouvelle dans le chaos du XXIe siècle.
À partir du 16 janvier, la deuxième thématique de la saison, "
Mondes parallèles" nous embarque pour une exploration de ces autres mondes régis par des lois physiques différentes.
Culte du corps, rapport à la violence et l’éthique martiale, Mishima a cultivé une relation symbiotique avec la figure du guerrier japonais, porteur des valeurs perdues d’un Japon idéalisé. Retour sur une fascination aussi fertile que morbide.
Le suicide spectaculaire de Mishima fait oublier qu’il est avant tout l’un des plus grands écrivains du XXe siècle. Comment voir et lire son obsession de la mort, au prix de quels malentendus et d’appropriations ?
Ils sont duveteux, terrifiés, terrifiants en retard, irritants, ironiques, blancs, transgenre, très nombreux, adorables, monstrueux, fragiles, agités, bégayants, introuvables ; les salles obscures sont leur terrier et nous nous risquerons à les suivre.
À l’origine, un cadre formel pour relier un monde à un autre. Au coeur du sujet, des héroïnes entraînées dans un fabuleux trash. Et, pour finir en grâce, des garçons en costume noir qui flottent dans la nuit étoilée.