Avec la Fondation d'entreprise Hermès dans le cadre de son programme New Settings
Le lieu : les architectures circulaires où, à l’époque moderne, s’accomplissaient les dissections. Dans les gradins se pressaient des étudiants en médecine, mais aussi des mondains en quête de distractions, des voyeurs venus se rincer l’œil, des curieux avides de découvrir les mystères de la Création.
Sur ce modèle, Boris Gibé a conçu son propre panopticum. Il y réinvente une cérémonie anatomique, doublée d’une expérience culinaire. Autour d’une Vénus de son invention, à la fois objet et sujet, le circassien crée un spectacle envoûtant, qui fait vaciller les frontières du féminin et du masculin, du vivant et de l’inerte, du bizarre et du sublime, et où atomes, organes et corps entrent dans une fascinante sarabande aux résonnances cosmiques.
Au départ, un objet et un lieu venus des siècles passés. L’objet : les Vénus anatomiques, ces femmes de cire, étonnamment réalistes, qui se démontent pour révéler au spectateur l’intérieur du corps humain.
Le lieu : les architectures circulaires où, à l’époque moderne, s’accomplissaient les dissections. Dans les gradins se pressaient des étudiants en médecine, mais aussi des mondains en quête de distractions, des voyeurs venus se rincer l’œil, des curieux avides de découvrir les mystères de la Création.
Sur ce modèle, Boris Gibé a conçu son propre panopticum. Il y réinvente une cérémonie anatomique, doublée d’une expérience culinaire. Autour d’une Vénus de son invention, à la fois objet et sujet, le circassien crée un spectacle envoûtant, qui fait vaciller les frontières du féminin et du masculin, du vivant et de l’inerte, du bizarre et du sublime, et où atomes, organes et corps entrent dans une fascinante sarabande aux résonnances cosmiques.