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Place Gréco, passerelle Arletty… Ces actrices que Paris a rendues immortelles

Mise à jour le 02/05/2023
Jean Seberg (1938-1979), actrice américaine, et Jean-Paul Belmondo (1933-2021), acteur français, lors du tournage d'"A bout de souffle", film de Jean-Luc Godard. France, septembre 1959.
Juliette Gréco était surnommée la muse de Saint-Germain-des-Prés, Jean Seberg est devenue indissociable de l'avenue des Champs-Élysées, qu'elle arpente dans À bout de souffle. Et que dire d'Arletty et son inoubliable « Gueule d'atmosphère », clamé sur le canal Saint-Martin… Toutes ces comédiennes aujourd'hui disparues méritaient que Paris leur rende hommage et attribue leur nom à une voie de l'espace public.
La dénomination des rues et espaces publics est l’occasion de rendre hommage à des personnalités, notamment féminines. Depuis 2011, le taux d’espaces verts et équipements de la Ville de Paris portant le nom d’une femme est passé de 6 à 14 %. Beaucoup d’entre elles sont de talentueuses comédiennes à l’instar de Jean Seberg, Monica Vitti ou Romy Schneider. Deuxième épisode de notre série sur l'odonymie, après les comédiens - et avant les réalisateurs et réalisatrices.
Photos Montage actrices
Crédit photo : Roger-Viollet

Une place pour Juliette Gréco

Bien qu’elle soit née à Montpellier en 1927, Juliette Gréco est indissociable de Paris dont elle disait qu’elle « l’avait mise au monde », même si son arrivée dans la capitale se fait dans la douleur, à la suite de l’arrestation de sa mère, résistante, par les Allemands. Adolescente, démunie, elle est recueillie par une connaissance habitant près de l’église Saint-Sulpice. La future chanteuse et comédienne explore alors le quartier et rencontre ceux qui participent alors au bouillonnement intellectuel, artistique et politique du cœur de la Rive gauche : Boris Vian, Jean-Paul Sartre ou Miles Davis.
Juliette Gréco
Crédit photo : © Roger Berson/Roger-Viollet
Juliette Gréco investit avec ses amis « existentialistes » des lieux qui deviennent mythiques comme Le Tabou, rue Dauphine. Ensemble, ils créent la légende de Saint-Germain-des-Prés dont Juliette Gréco reste l’icône absolue. Elle interprète des chansons devenues des classiques du répertoire français sous la plume de Prévert, Queneau, Trenet, Brel, Gainsbourg, Ferré et s’illustre en parallèle comme comédienne devant la caméra de Jean Cocteau ou de Jean-Pierre Melville. Elle incarne la figure de Belphégor, fantôme du Musée du Louvre, dans un feuilleton très populaire en 1965.
Place Juliette Greco
Place Juliette Greco
Crédit photo : Clément Dorval / Ville de Paris
Considérant l’étendue de sa carrière, mais aussi son engagement personnel en faveur de l’art et la culture, de la liberté, du droit d’expression et du droit des femmes à disposer de leur destin et de leur corps, le Conseil de Paris a dénommé, en 2021, place Juliette-Gréco (6e), la place située à la jonction des rues Guillaume Apollinaire, de l’Abbaye et Bonaparte et de la place Saint-Germain-des-Prés.

Des passerelles pour trois actrices

Arletty

Son lien direct avec le canal Saint-Martin et l’Hôtel du Nord avec sa fameuse "gueule d’atmosphère" lui valait bien qu’on dénomme une passerelle à son nom ! Arletty, de son vrai nom Léonie Bathiat était née en 1898 à Courbevoie… rue de Paris ! En 1916, après le décès de son père renversé par un tramway, sa famille déménage dans le Marais. Léonie sera d’abord tourneuse d’obus puis dactylo avant d’embrasser une carrière de mannequin puis de meneuse de revues.

Elle tiendra ensuite de nombreux rôles dans des opérettes aux Bouffes-Parisiens. Puis c’est la grande aventure du cinéma dès 1930 après une rencontre marquante avec Marcel Carné. Elle tourne sous sa réalisation Hôtel du Nord, Le Jour se lève, Les Enfants du Paradis, La Fleur de l’Âge ou encore L’Air de Paris.
Passerelle Arletty au canal Saint-Martin
Passerelle Arletty (10e)
Crédit photo : Clément Dorval / Ville de Paris

Dans les années 1950, elle tourne encore une vingtaine de films, aux côtés notamment de Georges Marchal, Gina Lollobrigida, Michèle Morgan, ou encore Jean-Claude Brialy.
Atteinte d'un glaucome, elle perd partiellement la vue et disparaît de la scène et des écrans dans les années 1960. Elle s'éteint le 23 juillet 1992, à l'âge de 94 ans, dans son appartement parisien du 14, rue de Rémusat (16e), dont la façade affiche une plaque depuis 2010.

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Maria Casarès

Elle aurait eu 100 ans en novembre 2022. C’est à l’occasion de cet anniversaire que le Conseil de Paris a voté qu'un pont du canal Saint-Martin porte son nom, tout près de la rue qui porte celui de qui fut son compagnon, Albert Camus. La tragédienne franco-espagnole décédée en 1996 a marqué les esprits avec ses rôles dans Les Enfants du paradis, (Marcel Carné), Les Dames du bois de Boulogne (Robert Bresson), La Chartreuse de Parme (Christian-Jaque) et Orphée (Jean Cocteau).
Pont Maria Casares
Pont Maria Casares
Crédit photo : Clément Dorval / Ville de Paris
Son histoire avec Paris date de l’arrivée de sa famille, au début de la guerre d’Espagne, rue de Vaugirard dans un hôtel aujourd'hui disparu, puis dans un appartement proche de l'impasse de l'Enfant Jésus, dans le 15e arrondissement. Maria entre à l'école Victor Duruy, où elle apprend le français. Elle se met au théâtre et est très vite remarquée. Elle obtient son premier rôle en 1942 au Théâtre des Mathurins, et la même année pour un court-métrage. Elle jouera dans une vingtaine de films et près de 120 pièces, aussi bien contemporaines que classiques.
Elle devient pensionnaire de la Comédie française au début des années 1950. Maria Casarès intègre ensuite le Théâtre National Populaire de Jean Vilar, et devient l'une des premières comédiennes à donner au festival d'Avignon ses lettres de noblesse.

Emmanuelle Riva

Passerelle Emmanuelle-Rivat
Passerelle Emmanuelle-Riva
Crédit photo : Clément Dorval / Ville de Paris
Emmanuelle Riva (1927-2017) a été révélée en 1959 par son rôle dans Hiroshima mon amour d'Alain Resnais. C'est en 1953 qu'elle monte à Paris malgré l'opposition de sa famille. Elle est née dans une famille ouvrière des Vosges. Elle est reçue à l’école de la rue Blanche. Sa carrière l'a longtemps conduite vers les planches tandis qu'elle se faisait plus discrète sur le grand écran.

En 2012, pour l’une de ses dernières apparitions cinématographiques, dans Amour de Michael Haneke, elle reçoit le César de la meilleure actrice. Outre le cinéma et le théâtre, Emmanuelle Riva a aussi publié trois recueils de poèmes. L'actrice a été inhumée au cimetière de Charonne (20e). La passerelle de l'avenue Richerand porte sa mémoire depuis 2022. Elle sera inaugurée en juin 2023.

Un jardin pour Monica Vitti

Jardin Monica Vitti (Paris 4e)
Crédit photo : Clément Dorval / Ville de Paris
Un jumelage exclusif lie Rome et Paris. Dès lors, nommer un de nos jardins – celui situé dans l’Hôtel de Sens (4e) - du nom de l'une des grandes figures du cinéma romain était une évidence. Et Monica Vitti, rendue mondialement célèbre dans les années 1960, d’abord pour ses rôles dramatiques dans la « tétralogie de l'incommunicabilité » d’Antonioni (L'Avventura, La Nuit, L'Éclipse et Le Désert rouge) puis, plus populaires, de La Fille au pistolet à Je sais que tu sais, était l’icône italienne dans toute sa splendeur.
Féministe, très engagée dans la parité professionnelle, elle s’est aussi montrée solidaire des artistes de la Nouvelle Vague française en 1968 en démissionnant de son rôle de juré lors du Festival de Cannes.
Atteinte de la maladie d’Alzheimer au début des années 2000, elle disparaît de l’œil du public, mais le monde du cinéma ne l’a pas oublié.

Les pelouses de l’avenue Foch pour Jean Seberg et Ingrid Bergman

Les jardins de l'avenue Foch sont un espace vert qui longe sur ses deux côtés et sur toute sa longueur l’avenue Foch. En 2015 et 2016, certaines portions de ces pelouses ont pris les noms d’illustres comédiennes.
Pelouses de l'avenue Foch
Crédit photo : Guillaume Bontemps/Ville de Paris
De double nationalité américaine et française, Jean Seberg connaît son premier triomphe en 1957 en incarnant Jeanne d'Arc dans le film Sainte-Jeanne d'Otto Preminger. Elle poursuit sa carrière avec Bonjour Tristesse, du même réalisateur. Ses rôles ont marqué la capitale et notamment l’avenue des Champs-Élysées qu’elle descend en vendant l’International Herald Tribune dans À bout de Souffle de Jean-Luc Godard, avec Jean-Paul Belmondo pour partenaire.
Décédée à 40 ans dans de terribles circonstances en 1979 - son corps est retrouvé à l'arrière de sa voiture dans le 16e arrondissement -, elle est enterrée au cimetière du Montparnasse.
De nationalité suédoise, Ingrid Bergman a quant à elle enchanté le cinéma des années 1940 à 1960, tant dans son pays natal qu’à l’international, avec trois Oscars à la clé. En 1946, elle donne l'une de ses interprétations les plus marquantes dans le film d'espionnage Les Enchaînés d'Alfred Hitchcock.
C’est en 1955 qu’elle tourne à Paris, sous la direction de Jean Renoir dans Elena et les hommes sur les amours mondaines d’une princesse polonaise dans le Paris de la Belle Époque. Toujours en France, elle a présidé le Festival de Cannes en 1973. Elle décède en 1982.
Ingrid Bergman dans Elena et les Hommes de Jean Renoir (1955)
Crédit photo : Alain Adler-Roger-Viollet

Une place pour Marlene Dietrich

Marlene Dietrich vers 1935
Crédit photo : Roger-Viollet
Si Marlene Dietrich est morte à Paris en mai 1992 et que ses obsèques ont eu lieu à l’église de La Madeleine, elle est enterrée en Allemagne, son pays d’origine. Née en 1901 à Berlin, la jeune femme souhaite devenir violoniste puis comédienne. Elle débute à l’âge de 20 ans dans des revues, puis obtient des rôles mineurs au cinéma.
À la fin des années 1920, elle chante ses premières chansons à succès et se fait repérer, notamment par Josef von Sternberg qui cherche l'héroïne de son prochain film. Elle sera L’Ange bleu, dans le premier film parlant du cinéma allemand. Elle tourne par la suite six autres films avec le réalisateur.
Puis Marlene Dietrich part aux États-Unis. Très opposée au nazisme, elle se fait naturaliser Américaine en 1939. Quelques années plus tard, éprise de Jean Gabin, elle arrive à Paris et reprend les tournages avec des rôles marquants dans les productions de Billy Wilder ou d’Alfred Hitchcock. Elle se retire de la scène en 1975, et vit recluse dans son appartement parisien du 12, avenue Montaigne (8e) jusqu'à sa mort.
La place Marlene-Dietrich – qui a pris cette dénomination en 2002 est située dans le 16e, à l'intersection de la rue de Lübeck, la rue de l'Amiral-Hamelin et la rue Boissière.

Un square pour Marie Trintignant

Le square Marie-Trintignant est un espace vert du 4e arrondissement, accessible par le 11, rue de l'Ave-Maria et le quai des Célestins. Planté de figuiers, de lilas et de quelques arquebusiers qui fleurissent abondamment au printemps, ce square était connu entre 1933 et 2017 sous le nom de square de l’Ave Maria. Il rend aujourd’hui hommage à l’actrice Marie Trintignant, morte sous les coups de son compagnon.
Enterrée au Père-Lachaise il y a tout juste 20 ans, l’actrice avait été nommée cinq fois aux Césars entre 1989 et 1999 et avait interprété de nombreux rôles dans des téléfilms. Elle avait commencé à jouer dès l’âge de 4 ans, souvent aux côtés de ses parents Jean-Louis et Nadine Trintignant.
Square Marie-Trintignant
Crédit photo : Sonia Yassa / Ville de Paris

Une rue pour Annie Girardot

Baptisée en 2012, la rue Annie-Girardot est située dans le 13e arrondissement, en bordure de la ZAC Gare de Rungis. Élève du conservatoire de la rue Blanche, Annie Girardot a commencé par des apparitions dans des cabarets montmartrois comme La Rose rouge ou le Lapin agile.
Rue Annie Girardot
Rue Annie Girardot
Crédit photo : Clément Dorval / Ville de Paris
En 1954, elle sort du Conservatoire national d’art dramatique avec deux premiers prix. Elle est engagée peu après à la Comédie française, dont elle démissionne trois ans plus tard pour se tourner vers le cinéma avec des films comme Rocco et ses frères, Le crime ne paie pas, Vivre pour vivre ou Mourir d’aimer.
En 1977, le César de la meilleure actrice lui est remis pour Docteur Françoise Gailland. Après une traversée du désert à partir des années 1980, elle revient sur le devant de la scène en recevant deux Césars de la meilleure actrice dans un second rôle : en 1996, pour son interprétation de La Thénardier dans Les Misérables de Claude Lelouch puis, en 2002, pour son rôle dans La Pianiste de Michael Haneke.
Dans les dernières années de sa vie, Annie Girardot a aussi été l’image du combat contre la maladie d’Alzheimer, dont elle souffrait. Morte en 2011, elle est inhumée au cimetière du Père-Lachaise. Née dans le 10e en 1931, elle est restée très attachée au quartier du Marais, dans lequel elle a habité de nombreuses années, d’abord place des Vosges puis, plus tard, au 3, rue du Foin, dans un immeuble sur lequel une plaque lui rend hommage.

Une rue pour Delphine Seyrig

En 2009, près de vingt ans après sa mort à l’âge de 58 ans, la Ville de Paris a décidé de dénommer rue Delphine-Seyrig, la voie communale commençant au 45, route des Petits Ponts (19e) et débouchant sur la berge du canal de l’Ourcq.
Rue Delphine Seyrig
Crédit photo : Clément Dorval / Ville de Paris
De L’Année dernière à Marienbad d’Alain Resnais à India Song de Marguerite Duras, Delphine Seyrig a joué dans 34 films pour le cinéma, 13 pour la télévision et 33 pièces de théâtre. Elle a travaillé avec des metteurs en scène comme Luis Buñuel, François Truffaut (Baisers volés), Joseph Losey ou Jacques Demy (Peau d’âne).
Au théâtre, elle a interprété des textes de Pinter à Pirandello, d’Arrabal à Handke. Militante féministe, elle a signé le Manifeste des 343 en 1971. Elle est inhumée au Cimetière du Montparnasse, en face de la tombe de Charles Baudelaire.

Une place pour Françoise Dorléac

La place Françoise-Dorléac est une voie publique située dans le quartier Porte Montmartre (18e). Sœur aînée de Catherine Deneuve, Françoise Dorléac, était née dans le 17e arrondissement en 1942. Elle fait ses premiers pas au cinéma en 1957 et en parallèle, joue les mannequins pour Christian Dior.
Elle accède au statut de vedette quand, en 1964, Philippe de Broca l'engage pour être la partenaire de Jean-Paul Belmondo dans L'Homme de Rio. Elle enchaîne aussitôt avec La Peau douce de François Truffaut, Cul-de-sac de Roman Polanski et Les Demoiselles de Rochefort de Jacques Demy.
Boulimique de travail, elle tourne dans près de vingt films en à peine huit ans de carrière, aussi bien en français qu'en anglais. Elle meurt dans un accident de voiture tragique en 1967, à tout juste 25 ans.

Une promenade pour Jeanne Moreau

Le 7e art est à l’honneur sur le bassin de la Villette (19e) : dans la continuité de la promenade Montand-Signoret, la Ville a dénommé en 2017, promenade Jeanne-Moreau, la voie commençant à hauteur du numéro 6, quai de la Seine.
Pour le Conseil de Paris, il existait des liens indéfectibles entre l’actrice et la capitale, où elle est née le 23 janvier 1928 et s’est éteinte le 31 juillet 2017. Celle qui interpréta la chanson Le Tourbillon de la vie, a joué dans plus de 130 films durant ses près de 60 années de carrière - nombre de ces films sont aussi associés à l’image de Paris, à commencer par Ascenseur pour l’échafaud.
La renommée de Jeanne Moreau est internationale : elle a présidé deux fois le jury du Festival de Cannes et deux fois celui de l’Académie des Césars, et a reçu en 1998 l’hommage de l’Académie des Oscars pour l’ensemble de sa carrière, devenant la première actrice française ainsi honorée. Elle est aussi la première femme à être élue à l’Académie des Beaux-Arts de l’Institut de France en 2000.
Jeanne Moreau (1928-2017), actrice française. France, vers 1968.
Jeanne Moreau vers 1968
Crédit photo : Roger-Viollet
Engagée pour les droits des femmes tant dans les choix de ses rôles qu’en signant le manifeste des « 343 salopes » pour le droit à l’avortement, l'une de ses dernières actions fut la défense des Pussy Riot contre le régime oppressif russe. Elle s’est aussi consacrée, à la fin de sa carrière, aux jeunes talents, jusqu’à en faire l’objet de sa Fondation post mortem créée à l’automne 2017. L’une de ses ultimes batailles fut celle contre la vente à la découpe de son immeuble de la place des Ternes (17e).

Une rue pour Romy Schneider

La rue Romy-Schneider est une voie publique située dans le nord-ouest du 18e arrondissement. Elle est créée en 2013 lors des travaux de la ZAC Pajol, en même temps que l'esplanade Nathalie-Sarraute. Rosemarie Magdalena Albach, dite Romy Schneider, est née en septembre 1938 à Vienne (Autriche) et morte le 29 mai 1982 à Paris.
Au début des années 1950, elle n’a que 15 ans quand elle commence sa carrière d'actrice. Elle entre dans la postérité grâce à la trilogie consacrée à l'impératrice Elisabeth d'Autriche, surnommée Sissi, entre 1955 et 1957. Elle s'installe alors en France où elle joue dans des films à succès… et tombe amoureuse d’Alain Delon, avec lequel elle forme aussi un duo de cinéma : dans Christine, La Piscine, L’Assassinat de Trotsky, L’Amour à la mer.
Dans les années 1970, Romy Schneider travaille avec Claude Sautet dans cinq films, dont Les Choses de la vie, César et Rosalie et Une Histoire simple. Elle remporte à deux reprises le César de la meilleure actrice et devient une icône. Marquée par des drames personnels, elle est décédée en 1982 dans son appartement du 11, rue Barbet de Jouy (7e).

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