Rendez-vous incontournable de la culture brésilienne, le Festival du Cinéma Brésilien de Paris revient cette année au printemps avec une programmation de films récents et inédits, sans oublier quelques classiques. Fictions et documentaires se partageront l’affiche de la grande salle de l'Arlequin le temps d’une semaine riche en rencontres, entre débats avec des équipes de film, présentations de livres, exposition et concerts. Le tout au rythme du fameux bar du Festival. Du 29 mars au 5 avril, le Festival fait de Paris la capitale du Brésil pour célébrer le meilleur de son cinéma !
Nous vous espérons nombreux au cinéma l’Arlequin du 29 mars au 5
avril, pour garnir la salle et le hall de l’Arlequin et en attendant, nous
ouvrons la fenêtre de la programmation avec pas moins de 30 films cette
année !
19 fictions et 11 documentaires se partageront le grand écran pour
témoigner de la grande diversité de la récente création brésilienne, et son
inventivité sans cesse renouvellée. Des grands films populaires comme Pixinguinha,
à l’ouverture, Eduardo et Mônica, Le Père de Rita
ou Bienvenue à Quixeramobim, tous inédits en France.
Laissez-vous porter par de grandes œuvres atypiques, parfois
décalées et toujours surprenantes comme Medusa, Irmã, Le Nuage rose,
Memory House et d’autres propositions puissantes avec Fogaréu,
Sine your eyes ou l’indispensable Marighella, qui revient
pour une nouvelle séance choc.
Une des pépites du Festival, Mars 1, vous emmènera
plus loin que vous ne l’imaginez…
La jeunesse encore et toujours vous touchera grâce à Je
m’appelle Bagdad ou le film culte Rio, 40°. Tout comme
l’acclamé Central do Brasil, grand film que l’on ne présente plus
tandis que nous sommes fiers de vous présenter de futurs grands classiques
comme Private Desert, Homme Jaguar ou Les
Premiers soldats.
Au Brésil, la musique n’est jamais loin, comme le montrent les
beaux documentaires sur Gilberto Gil, Elza Soares
ou encore l’émouvant Paradis.
Nous sommes également fiers de vous présenter le déjà
indispensable Branche Pankararu, tout comme les puissants 8
Présidents 1 Serment, Volontaire ****1864, Vous ne
saviez pas pour moi ou encore Favela, c’est la mode.
D’autres superbes portraits de femmes nous accompagneront
longtemps, grâce à Eneida, La Mère de toutes les luttes ou
Puisque personne ne m’invite à danser…
L’ultra stylisé et très rare documentaire de 1926, Rien que
les heures, complète cette programmation unique, rien que pour vos
yeux.
D’autres surprises et le dévoilement de tous les invités qui
seront présents parmi nous dans une très prochaine newsletter, alors restez en
contact et parlez-en autour de vous : le Festival n’existe que par et pour
vous, cher public !
Nous comptons sur vous pour faire de ce festival une belle fête du
cinéma, de la fraternité et du partage, abraços !