Paris, 2e ville la plus agréable à vivre en Europe
Actualité
Mise à jour le 17/04/2024

Un cabinet canadien, Resonance Consultancy, vient de publier son classement 2024 des villes de plus de 500 000 habitants les plus agréables à vivre en Europe. Et Paris se classe à la 2e place !
Il fait bon vivre à Paris. À tel point que, selon une étude du cabinet de conseil canadien Resonance Consultancy, la capitale arrive en 2e position des villes les plus agréables à vivre en Europe, juste derrière Londres.
Pour établir ce classement, dont le podium est complété par Berlin, plusieurs critères ont été pris en compte, comme les innovations urbaines, les différents aménagements pour faire face aux nouveaux enjeux climatiques, la place faite aux piétons et aux mobilités douces, la diversité de l’offre culturelle ou encore son image à l’international.
À ce titre, Paris tire largement son épingle du jeu. Depuis plusieurs années, les aménagements cyclables ont fleuri partout en ville, amenant les Parisiens et Grand-Parisiens à délaisser largement leur voiture au profit du vélo, comme l’a récemment dévoilé une étude de l’Institut Paris Région : 11,2 % des déplacements se font à vélo dans la capitale, contre 4,3 % en voiture.
Le maillage cyclable ne va d’ailleurs pas s’arrêter là, puisque le nouveau plan vélo vise une ville 100 % cyclable à l’horizon 2026.
Boulevard Pasteur (15e)
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Joséphine Brueder / Ville de Paris
Avenue du Général-Leclerc (14e)
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Joséphine Brueder / Ville de Paris
Place de la Bastille
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Joséphine Brueder / Ville de Paris
Avenue de la Porte-des-Lilas (20e)
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Joséphine Brueder / Ville de Paris
Rue de Rivoli (Paris Centre)
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Joséphine Brueder / Ville de Paris
Rue de Vaugirard (15e)
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Joséphine Brueder / Ville de Paris
Boulevard Ornano (18e)
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Jean-Baptiste Gurliat/Ville de Paris
Piste cyclable le long du canal Saint-Martin (10e)
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Joséphine Brueder/Ville de Paris
Boulevard Richard-Lenoir (11e)
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Joséphine Brueder/Ville de Paris
Rue de Charenton, portion entre la rue de Montgallet et l’avenue Daumesnil (12e)
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Guillaume Bontemps / Ville de Paris
Les piétons à la fête
Les aménagements pour rendre la ville plus paisible ont aussi été au profit des piétons, et notamment des enfants : ici et là, des « rues aux écoles » ont été aménagées en nombre. On en compte aujourd’hui plus de 200, et ce n’est pas fini.
De grandes places ont été réaménagées (Nation, République, Bastille, etc.) et de nombreuses rues ont été végétalisées. En outre, 155 000 arbres ont été plantés en dix ans, et 45 nouveaux hectares d’espaces verts ont été créés.
Rue Du Sommerard (5e)
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Sophie Robichon / Ville de Paris
Rue Éblé (7e)
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Christophe Belin / Ville de Paris
Rue de Florence (8e)
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Jean-Baptiste Gurliat / Ville de Paris
Rue Milton (9e)
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Guillaume Bontemps/Ville de Paris
Rue de Belzunce (10e)
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Christophe Belin / Ville de Paris
Rue de la Brèche-aux-Loups (12e)
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Christophe Belin / Ville de Paris
Rue aux écoles avenue Stephen-Pichon (13e)
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Lola Suarez / Ville de Paris
Boulevard Murat (16e)
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Christophe Belin / Ville de Paris
Rue Ferdinand-Flocon (18e)
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Guillaume Bontemps / Ville de Paris
Rue Saint-Luc (18e)
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Joséphine Brueder / Ville de Paris
Rue Tandou (19e)
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Christophe Belin / Ville de Paris
Rue Pierre-Foncin (20e)
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Joséphine Brueder / Ville de Paris
Pour s’adapter au changement climatique, Paris a considérablement réduit la place de la voiture, dont le trafic a diminué de plus de 40 % depuis 2011. Quelque 60 000 places de parking ont été supprimées, pour faire place notamment aux terrasses estivales qui font le bonheur des Parisiens dès les beaux jours revenus.
La limitation de la vitesse est aussi passée à 30 km/h intra-muros, tandis que celle du périph s’abaissera à 50 km/h d’ici cet automne. Autant de mesures qui décongestionneront le trafic et atténueront la pollution, qu’elle soit atmosphérique ou sonore.
Autre facteur retenu par le cabinet canadien : l’offre de transports, et notamment l’arrivée prochaine du Grand Paris Express, dont les premières lignes devraient être livrées en 2025. Et si, en matière de transports, la Ville de Paris n’a que des compétences limitées, elle peut se féliciter d’avoir rendu une grande majorité de ses lignes de bus accessibles aux personnes à mobilité réduite, soit 59 lignes sur 61. Car une ville où il fait bon vivre est aussi une ville inclusive et bienveillante.
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