Attention, cet article n'a pas été mis à jour depuis le 19/08/2022, il est possible que son contenu soit obsolète.
Service

Centres de prévention et de dépistage

Mise à jour le 19/08/2022
Dépistage de maladie
Sida, tuberculose, drépanocytose, … Où se faire dépister à Paris ?
Consultations Coronavirus/Covid-19
Les centres de santé de la Ville proposent des consultations covid-19, sur rendez-vous (par téléphone ou en ligne via doctolib) et à horaires variables.
En savoir plus sur le dispositif Covid-19 des Centres de santé de la Ville de Paris.


Les centres de prévention et de dépistage

Des équipes médicales assurent écoute, information et soins, qu’il s’agisse de médecine générale, de dépistage de certaines maladies (tuberculose, sida, IST).
Vous pouvez consulter, bénéficier d’une prise en charge médicale, vous faire dépister gratuitement et anonymement ou non, dans les centres médico-sociaux (CMS) gérés par la Ville de Paris.
Les rendez-vous sont gérés sur l'application Doctolib. Vous pouvez prendre rendez-vous dans un centre de dépistage de la Ville de Paris ci-dessous :

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Important
Avant de vous rendre sur place, il est préférable d'appeler le centre pour vérifier la disponibilité des plages horaires.
En cas d'affluence, une admission tardive est parfois impossible.

Services proposés par les Centres médico-sociaux

Des consultations dans les CeGIDD

Depuis le 1er janvier 2016, les centres de dépistage anonymes et gratuits (CDAG) / et centres d'information de dépistage et de diagnostic des infections sexuellement transmissibles (CIDDIST) sont remplacés par de nouvelles structures nommées centres gratuits d'information, de dépistage et de diagnostic des virus de l'immunodéficience humaine (VIH), des hépatites et des infections sexuellement transmissibles (IST) (CeGIDD).

Chacun peut bénéficier gratuitement de test(s) de dépistage ou d'un entretien médical, en toute confidentialité.

Des permanences médico-sociales d’accompagnement aux soins

Des professionnels médico-sociaux accueillent les Parisiens en difficulté, sans couverture sociale, sans domicile fixe, chômeurs pour un bilan santé et social afin de les accompagner et de les soutenir dans leurs démarches d’accès aux droits et aux dispositifs santé.

Des consultations de pneumologie dans le cadre de la lutte antituberculeuse

Les dépistages dans les centres médico-sociaux

Les dépistages VIH/IST sont proposés par les CMS Belleville et Ridder.
Attention, le CMS Boursault n'assure pas de dépistage VIH/IST.
Les Centres médico-sociaux (CMS), et les CeGIDD dans les arrondissements :

CMS - CeGIDD

Centre Gratuit d'Information, de Dépistage et de Diagnostic des virus de l'immunodéficience humaine (VIH), des hépatites et des infections sexuellement transmissibles (IST).

Consultations de dépistage et de prévention
Du lundi au vendredi sur RDV de 9h à 12h15 et de 13h30 à 16h45, et jusqu’à 18h45 le lundi.
Les samedis sur RDV de 9h15 à 12h15 pour les dépistages.
Les résultats sont rendus sans rendez-vous, 7 jours plus tard, sur les temps de présence médicale.
Possibilité de faire un test de dépistage rapide du VIH (TROD) sur RDV le lundi de 9h00 à 12h et de 13h30 à 16h00, le mercredi et le jeudi de 09h00 à 12h.

Consultation de pneumologie (dans le cadre de la lutte antituberculeuse), uniquement pour les habitants des 11e, 19e et 20e arrondissements de Paris. Sur rendez-vous, le mardi, le mercredi, de 9h à 12h30.

Consultations de médecine générale - Permanence médico-sociale :
Pour les Parisiens en difficulté, sans couverture sociale, sans domicile fixe, chômeurs. Sur rendez-vous le mardi, le mercredi, le jeudi et le vendredi de 9h à 12h00 et de 13h30 à 16h45,.

Consultations de vaccination le mardi, le mercredi, le jeudi et le vendredi sur rendez-vous.

Consultation Médico-psychologique pour les 18/30ans avec consultation médicale le mardi de 13h30 à 16h45 et consultation avec la psychologue le mercredi de 13h30 à 16h45.

Une équipe médicale vous reçoit pour une écoute, une information, un diagnostic et une éventuelle orientation. Un(e) assistant(e) social(e) est également disponible sur rendez-vous pour vous orienter et vous aider dans les situations difficiles. Sur rendez-vous dans le cadre des horaires d’ouverture du centre.

Une psychologue peut vous recevoir le mardi de 13h30 à 17h et le mercredi de 09h00 à 12h30.

Ouverture du centre le mardi et le vendredi de 8h30 à 17h00 (dernier accueil à 16h30) et le lundi, le mercredi et le jeudi de 8h30 à 19h00 (dernier accueil à 18h30).

Comment se rendre au centre médico-social Belleville ?
218, rue de Belleville - 75020 Paris - Tél. : 01 40 33 52 00 - Métro : Télégraphe (Ligne 11) ou Place des Fêtes (Ligne 11). Bus : n° 60 (arrêt Pixérécourt).

CMS - CeGIDD
Centre Gratuit d'Information, de Dépistage et de Diagnostic des virus de l'immunodéficience humaine (VIH), des hépatites et des infections sexuellement transmissibles (IST).

Consultation de dépistage sur rendez-vous :

Lundi, mercredi et vendredi de 12h à 17h30
Mardi et jeudi de 9h à 17h30
Samedi de 9h15 à 11h15
La remise des résultats se fait sans rendez-vous du lundi au vendredi de 12h à 18h30 et le samedi de 9h15 à 11h45.

Pour les urgences, il est préférable d'appeler avant de venir.
Nous vous remercions d’amener, dans la mesure du possible, votre carnet de santé et/ou vaccination.
Des permanences médico-sociales d’accompagnement aux soins pour les adultes.Sur rendez-vous le lundi et jeudi, de 9h à 16h30
Des permanences médico-sociales d’accompagnement aux soins spécifiquement orientées vers les jeunes de 16 à 25 ans.

Sur rendez-vous le mardi, mercredi et vendredi, de 12h à 17h.

Consultation de planification et d’éducation familiale
Sur rendez-vous, le lundi de 9h à 16h30 et le jeudi de 14h à 16h30

Comment se rendre au CMS Ridder ?
3, rue de Ridder 75014 Paris - Tél. : 01 58 14 30 30 - Métro : Plaisance (ligne 13).Bus : n° 62.

Consultation de pneumologie (lutte antituberculeuse)
sur rendez-vous, du lundi au vendredi, pour les habitants des 1er, 2e, 3e, 4e, 7e, 8e, 9e, 10e, 15e, 16e, 17e et 18e arrondissements.
Permanence médico-sociale
sur rendez-vous, du lundi au vendredi pour les Parisiens sans couverture sociale.
Consultations de vaccinations
sur rendez-vous du lundi au vendredi
Horaires du centre: Du lundi au vendredi: 8h45-12h30 et 13h30-17h.

Comment se rendre au CMS Boursault ?

54 bis, rue Boursault 75017 Paris - Tél. : 01 53 06 35 60
- Fax : 01 44 69 12 55 - Métro : Rome (ligne 2). Bus : n° 66 (Legendre), n° 30 (Rome-Batignolles) et n° 53 (Legendre)

Autres lieux de dépistage

Centre de dépistage de l'Institut Alfred Fournier
25, boulevard Saint-Jacques
75014 Paris
Centre de dépistage de l'hôpital Pitié Salpétrière (AP-HP)
47-83 boulevard de l'Hôpital
75013 Paris
Centre de Santé Sexuelle - CeGIDD de l'Hôtel-Dieu de Paris (AP-HP)
1 place du Parvis Notre-Dame
75004 Paris

Centre de dépistage de l'hôpital Bichat (AP-HP)
46 rue Henri Huchard
75018 Paris

Centre de dépistage de l'hôpital Saint-Antoine
(AP-HP)

184 rue du Faubourg Saint Antoine
75012 Paris
Tél : 01 49 28 24 45

Centre de dépistage Croix-Rouge Française
43, rue de Valois
75001 Paris

Centre de dépistage de l'hôpital Fernand Widal (APHP)
200, rue du Faubourg Saint Denis
75010 Paris
Tél : 01 40 05 45 45

Les Maisons d’Information en Santé (MIS) s’adressent à toute personne désireuse de s’informer sur les maladies, les traitements, le dépistage etc…On y trouve des informations à travers divers support (brochures, sites web….), des renseignements sur l’hôpital et l’offre de soins et les coordonnées d’associations de soutien.

Le saturnisme

Intoxication par le plomb, le saturnisme est une maladie grave, réapparue en 1985 alors qu’on la croyait éradiquée. Elle concerne en France près de 85 000 enfants de moins de six ans. La Ville de Paris lutte contre ce problème de santé publique sur plusieurs fronts. Pour cibler les enfants à risque, le dépistage mené dans les services de PMI s’étend désormais aux écoles.


Le plomb présente un danger particulier dans l’habitat ancien : jusqu’en 1948, les peintures contenaient souvent des sels de plomb. Si elles sont aujourd’hui interdites, ces peintures, en se dégradant, deviennent accessibles sous forme d’écailles ou de poussières. Si le jeune enfant en respire, surtout lors de travaux mal contrôlés, ou en ingère fréquemment, même en petites quantités, le plomb peut atteindre son cerveau de manière irréversible. Au niveau national, la probabilité de rencontrer de telles peintures est forte dans encore un tiers du parc immobilier ; à Paris, 70% des immeubles ont été construits avant 1948.

Une action concertée
L’intoxication au plomb est, en règle générale, inapparente chez l’enfant. Les quelques symptômes observés comme une pâleur, des troubles digestifs ou du sommeil, une agitation, ne sont pas spécifiques du saturnisme infantile. La famille habite-t-elle un quartier particulièrement exposé, listé par la Préfecture ? La peinture des fenêtres, des balcons ou de la cage d’escalier est-elle dégradée ? Les murs produisent-ils de la poussière ou des écailles, que l’enfant est susceptible d’ingérer en jouant?
C’est sur ces facteurs de risque que se fonde le dépistage, à l’école comme dans les centres de Protection maternelle et infantile (PMI). Le médecin de PMI ou le médecin scolaire procède à une évaluation en concertation avec les familles et prescrit, si besoin, un dosage de plomb dans le sang (appelé plombémie).
La prise de sang est faite, dans les centres de PMI ou au laboratoire, par les infirmières du laboratoire d’hygiène de la ville de Paris (LHVP) qui effectue le dosage de la plombémie. En 2006, 1100 dosages pour dépistage et 1000 pour un contrôle de suivi ont été réalisés.

Quand un cas de saturnisme infantile se confirme, obligation est faite aux professionnels de santé d’en informer la Direction départementale des affaires sanitaires et sociales (DASS de Paris), dans le cadre des mesures d’urgence prescrites par la loi de santé publique. Le LHVP entreprend une enquête environnementale dans l’habitat et, si nécessaire, dans les autres lieux fréquentés par l’enfant (école, crèche,…). Lorsque les analyses révèlent une quantité significative de plomb sur les murs, le Préfet impose au propriétaire des lieux de réaliser des travaux de recouvrement des surfaces dégradées ou des travaux de rénovation.
Des mesures simples
Selon le degré d’intoxication, la prise en charge médicale sera plus ou moins lourde. Il s’agit donc de réduire le risque en prenant des mesures simples comme par exemple :
- limiter l’accès aux poussières ou écailles contaminées par le plomb.
- dans l’attente d’une solution définitive : cacher les peintures écaillées.
- éloigner les enfants des sources de contamination. La prise des repas à la cantine, et leur prise en charge par les centres de loisirs sont recommandées.
- nettoyer le sol avec une serpillière mouillée.
- aérer souvent le logement pour en chasser l’humidité.


La loi du 29 juillet 1998 relative à la lutte contre les exclusions et les textes réglementaires ont confié au Préfet de Paris la responsabilité du dispositif de lutte contre le saturnisme. Ce dispositif a plus précisément été confié à la Direction régionale et interdépartementale de l'Hébergement et du Logement en Ile- de- France de la Préfecture de Paris (DRIHL).

Le bureau de la lutte contre le saturnisme de la DRIHL organise et coordonne les interventions liées à la lutte contre le saturnisme à Paris.
Contacts : Direction régionale et interdépartementale de l'Hébergement et du Logement en Ile- de- France (DRIHL)
5, rue Leblanc, 75911 Paris cedex 15
tél: 01 82 52 40 00/ 01 82 52 49 97


Association des Familles Victimes du Saturnisme : l'Association des Familles Victimes du Saturnisme a été créée en mars 1998 par une poignée de personnes conscientes du grave danger que représente le saturnisme pour les enfants exposés. Elle combat principalement le saturnisme infantile, problématique fortement liée au mal logement: la principale source d'intoxication des enfants des familles de l'association est en effet l'accessibilité au plomb des peintures dans les appartements construits avant 1948 dont les murs sont en mauvais état.
L'AFVS a pour but d'obtenir des pouvoirs publics une véritable politique de santé publique, des mesures de prévention et de réparation des risques liés au saturnisme infantile, le relogement prioritaire et urgent des familles dès qu'il apparaît qu'un enfant est atteint de saturnisme et enfin une indemnisation des victimes (enfants et parents).
Contact : Morgan Pinoteau, 3 rue du Niger 75012 Paris
Tél. 09 53 27 25 45
Tél. 06 99 89 19 39

La tuberculose

Encore fréquente, la tuberculose est une maladie dangereuse et contagieuse, qui touche tout le monde : hommes, femmes, enfants y compris en bas âge.
Il est obligatoire d'établir une déclaration aux autorités sanitaires, instaurée en France depuis 1964. Pour intensifier la surveillance permanente de cette maladie, la Ville de Paris a rénové son dispositif de dépistage en 2004.


La tuberculose est une maladie infectieuse contagieuse, causée par un microbe : le bacille de Koch. Ce microbe, invisible à l’œil nu, se voit au microscope. Il se multiplie de manière préférentielle dans les poumons mais aussi dans les os, les reins, le cerveau…

Devant des signes cliniques évocateurs (toux , fatigue , amaigrissement), il faut aller consulter son médecin traitant pour bénéficier d'un examen clinique, d'une radiographie pulmonaire et éventuellement d'examens complémentaires si nécessaire. Certaines populations à risques peuvent bénéficier d'un dépistage systématique sous l'égide du centre Edison.
Qui est concerné ?
Cette maladie peut concerner tout le monde : femmes, hommes, enfants.
Quels sont ses signes ?
- La fièvre avec des sueurs nocturnes,
- un amaigrissement,
- une grande fatigue,
- une toux avec des crachats parfois teintés de sang, quelque fois aussi une douleur thoracique et une gêne respiratoire.
Comment se transmet-elle ?
C’est une maladie contagieuse qui se transmet en toussant, en parlant, en crachant. Elle se transmet surtout aux proches des malades.


Sous l’égide du centre de santé Edison (voir les centres de santé), une équipe mobile composée de médecins, infirmières et travailleurs sociaux, se rend dans des foyers de travailleurs migrants et de centres d’hébergement d’urgence parisiens (Emmaüs, Mie de Pain, SAMU social …) après un travail préalable de sensibilisation. Le dépistage est important pour mieux traiter les personnes atteintes et protéger leur entourage.

Par un examen médical et par une radiographie pulmonaire. L'examen bactériologique des crachats et leur mise en culture permettent, la plupart du temps, de confirmer le diagnostic.
À noter :
Il existe un dépistage itinérant de la tuberculose.
» Pour en savoir plus, voir la page "Action de santé"


Le dépistage dans un centre municipal de santé

Le dépistage est proposé dans des établissements de la Ville de Paris :
- Les CMS-CIDAG-CIDDIST (ci-dessous)
- Le centre Edison ( 44, rue Charles-Moureu, 75013 Paris - Tél. : 01 44 97 86 01 - Métro : Place d’Italie (lignes 5, 6 ou 7, sortie : Vincent-Auriol), Olympiades (ligne 14). Bus : 27, 47, 57, 64, 67, ou 83 )


Le traitement est simple et efficace. Il repose sur l’association d’antibiotiques pendant au moins six mois. Il nécessite un suivi régulier. La tuberculose est une maladie prise en charge à 100 %.

La vaccination par le BCG protège les enfants des formes graves de la maladie. Cette vaccination est recommandée pour tous les enfants en Ile-de-France.

La drépanocytose

La drépanocytose, maladie grave d’origine génétique, atteint chaque année plus de 300 000 enfants dans le monde, en particulier les personnes originaires d’Afrique subsaharienne et des DOM-TOM. Un dépistage est proposé gratuitement au Centre d'information et de dépistage de la drépanocytose (CIDD).


Souvent méconnue en France, la drépanocytose est pourtant la maladie génétique qui concerne le plus grand nombre de malades. Elle est liée à une anomalie de l’hémoglobine, un constituant des globules rouges, qui permet de transporter l’oxygène dans le sang. Les globules rouges peuvent devenir rigides et se bloquer dans les petits vaisseaux sanguins.

Chaque personne fabrique l’hémoglobine en fonction de codes contenus dans ses gènes qui ont été transmis par son père et sa mère. Un individu peut hériter de deux codes normaux : il est dit AA et seule l’hémoglobine normale est fabriquée. Un individu qui hérite de deux codes anormaux ne fabriquera que de l’hémoglobine S. Il est dit SS. Chez un individu qui a hérité d’un code normal, et d’un code anormal, l’hémoglobine sera un mélange des deux formes d’hémoglobine, il est AS.
Il est important de distinguer les porteurs sains du trait drépanocytaire et les malades drépanocytaires.
Seuls les sujets SS sont malades. Les sujets AS sont bien portants mais lorsque les deux parents sont AS le risque pour eux d’avoir un enfant gravement malade est de un sur quatre, à chaque naissance. Il est donc important de se faire dépister avant de décider de mettre un enfant au monde.
A noter: la drépanocytose touche autant les filles que les garçons.


Il est impossible de guérir de cette maladie mais le dépistage permet de mettre en place un suivi médical afin de diminuer la gravité ou la fréquence des complications. Le dépistage permet de savoir si l'on est porteur du gêne "s".


Dépistage gratuit.
À tout moment, lorsque l’on envisage d’avoir un enfant.
Le dépistage se fait par prélèvement sanguin, sans rdv. Il n'est pas nécessaire d'être à jeun.


Le Centre d’information et dépistage de la drépanocytose (CIDD) de la Ville de Paris est chargé de dépister et d’informer sur cette maladie et sa prise en charge et d’apporter un soutien aux malades et à leurs familles. Il accueille également des associations de malades ou de lutte contre la drépanocytose (OILD, SOS Globi, APIPD, Drepavie) qui développent des actions de sensibilisation auprès des populations à risque. Il soutient également des associations de malades ou de lutte contre la drépanocytose (OILD, SOS Globi, APIPD, Drepavie) qui développent des actions de sensibilisation auprès des populations à risque.

Le CIDD propose aussi une consultation médicale sur rendez-vous
- Orientation possible vers une assistante sociale et/ou un réseau de psychologues spécialisés
- Mise en relation avec les associations nationales (voire internationales) de lutte contre la drépanocytose.
Contact : Centre d'information et dépistage de la drépanocytose (CIDD)
2 lieux :
- 13 rue Charles Bertheau - 75013 Paris
Métro : ligne 7 (Porte de Choisy)
Tél. : 01 45 82 50 14


- 16, 18, rue Cavé - 75018 Paris
Métro : La Chapelle (ligne 2) ou Château Rouge (ligne 4)
Tél. : 01 45 82 50 14
» Consulter le dépliant de présentation du CIDD au format pdf


Les personnes atteintes par la drépanocytose doivent impérativement bénéficier d’un suivi régulier dans des centres spécialisés. Seul ce suivi permet de diminuer la fréquence ou de minorer la gravité des complications. Tous les services d’accueil et d’urgence de ces hôpitaux peuvent recevoir des drépanocytaires 24h/24.

Pédiatrie
Hôpital Armand Trousseau, 26, avenue du Docteur Arnold Netter, 75012 Paris
Tél. : 01 44 73 69 09

Hôpital Necker, 149-161, rue de Sèvres, 75015 Paris
Tél. : 01 44 49 48 07

Hôpital Robert Debré, Point bleu, niveau -1, 48, boulevard Sérurier, 75019 Paris
Tél. : 01 40 03 24 22
Centre hospitalier intercommunal de Créteil (CHIC), 40, avenue de Verdun, 94010 Créteil, Tél. : 01 45 17 50 00
Adultes
Hôpital Tenon, 4, rue de la Chine, 75020 Paris, Tél. : 01 56 01 66 11
Hôpital Henri Mondor, 51, avenue du Maréchal-de Lattre de Tassigny, 94000 Créteil, Tél. : 01 49 81 24 40
Pédiatrie et adultes, Hôpital du Kremlin-Bicêtre, 78, rue du Général Leclerc, 94270 Le Kremlin Bicêtre, Tél. : 01 45 21 32 98


Des associations assurent des permanences au sein du Centre d'information et dépistage de la drépanocytose. Pour connaître les horaires des permanences assurées par ces associations, appelez le Centre d'information et de dépistage de la drépanocytose (CIDD) au : 01 45 82 50 00. Permanence au 01 45 82 50 43.

LCDM, 21, avenue de la République, Appartement 30, 92320 Chatillon
OILD, 21, rue Godefroy, 92800 Puteaux, 01 49 01 13 54,
SOS GLOBI PARIS, Maison des associations, 181, avenue Daumesnil, 75012 Paris, Tél. : 06 60 63 48 66
DREPAVIE, 5, rue Saint Benoit, 75006 Paris, Tél. : 03 88 61 14 03
APIPD, 5, rue de Belzunce, 75010 Paris, Tél. : 01 40 10 02 49
7 ter, rue Edouard-Vaillant, 93400 Saint Ouen

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