Maxime Merlin et Paul Livolsi font partie des 54 athlètes soutenus par la Ville de Paris dans le cadre de leur préparation pour les Jeux olympiques de 2024. Membres de l’AJA (Amicale Judo Associatif) Paris XX, ils s’entraînent tous les jours au centre sportif Alfred Nakache dans le 20^earrondissement. Et rêvent de participer à l'aventure olympique aux Jeux de Paris 2024.

Maxime : Je suis issu d’une famille de judokas, mon père était ceinture noire. Ma mère lui avait interdit de m’influencer et voulait qu’il me laisse faire mes choix tout seul. Malgré tout, à 3 ans, j’ai décidé de faire du judo.

Paul : Mon frère était un sportif de haut niveau en judo. J’ai essayé plusieurs sports mais c’était en judo que je gagnais le plus. J’ai donc choisi le judo tout petit parce que j’aimais gagner.

Maxime : Ma participation aux Championnats de France par équipe. Nous avons remporté la médaille d’or et c’était formidable de gagner tous ensemble.

Paul  : Mon titre de champion de France individuel en première année. J’avais hâte de montrer que j’étais performant et que mon club pouvait compter sur moi.

Maxime : Je serai fier de représenter toutes les personnes qui comptent sur moi, ma famille, mon club mais aussi Paris. Je veux participer à ces Jeux parce qu’ils se dérouleront à la maison et parce que je vise une médaille d’or (catégorie – 60 kg).

Paul  : Quand on participe aux Jeux olympiques, c’est pour gagner. J’aimerais gagner parce que cela sera chez moi à Paris, parce que je veux rendre à la Ville tout ce qu’elle m’a offert. Mon rêve c’est de remporter une médaille d’or (catégorie – 90 kg). L’obtenir à Paris cela serait formidable !

Maxime : D’ici les Jeux, nous avons besoin de participer à de nombreuses compétitions et le soutien financier de la Ville de Paris me permet de le faire avec plus de sérénité. C’est aussi une chance de bénéficier des installations sportives de la DJS qui se trouvent dans Paris. C’est plus pratique pour les entraînements.

Paul  : La Ville de Paris m’aide au quotidien en me donnant la possibilité de m’entrainer dans une belle salle à Nakache. Grâce à la subvention qu’elle verse à mon club, l’AJA, et à moi-même, elle me permet de me concentrer sur mon sport et de ne penser qu’au judo !