À 620 jours des Jeux olympiques et 653 des Jeux paralympiques, il était temps de faire connaissance avec les futures mascottes de Paris 2024. Après des mois d’entraînement et de préparation, les voici !

Ce duo en forme de bonnets phrygiens rouges se nomme « les Phryges ». « Convaincues que le sport peut tout changer », elles nous invitent à faire ensemble « la révolution par le sport ! ».

Baskets au pied pour la phryge olympique, prothèse à la jambe droite pour la phryge paralympique, drapeaux tricolores au coin de leurs yeux bleus, les deux personnages représenteront les Jeux de Paris 2024. Les mascottes seront déclinées dans tous les sports olympiques et paralympiques et symboliseront aussi les supporters.

Symbole révolutionnaire, de la République et de liberté, le bonnet phrygien coiffe Marianne dans les bâtiments administratifs, mairies ou sur les timbres.

Les deux mascottes sont elles-mêmes héroïnes de leur tribu fictive des Phryges, un peuple qui les accompagne. Grâce à « leur expérience ancestrale, les Phryges savent bien qu’une Révolution, ça se prépare ».

Leur mission : « faire bouger la France et les Français ! » Car ces deux bonnets portent une conviction : « Le sport peut tout changer ! Nos vies, notre santé, nos relations aux autres, notre rapport à la nature… » C’est pourquoi elles manifestent pour « mettre plus de sport dans notre vie ! »

Deux mascottes pour deux caractères. D’un côté, la phryge olympique, « toujours réfléchie et fine stratège », elle « ne se lance dans une aventure qu’après avoir mûrement pesé le pour et le contre ». Comme les athlètes olympiques, elle connaît l’importance de mesurer tous les paramètres pour parvenir à ses fins.

De l'autre, la phryge paralympique, qui fonce à toute vitesse avec sa prothèse de course. « Elle déteste s’ennuyer et adore tester des nouveautés. Sports de raquette, de vitesse, en duo, en équipe ou en solo, elle est toujours partante. »

Avec son esprit de parfait supporter, elle aime répandre les valeurs du sport, célébrer les athlètes dans tous les stades et sur tous les sites des Jeux et faire la fête pour célébrer la victoire ou se consoler d’une défaite.