Lieu
Église Saint-Séverin

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Église Saint-Séverin
1 rue des prêtres Saint-Séverin, Paris 5e
1 rue des prêtres Saint-Séverin, Paris 5e
Saint-Michel Notre-Dame
Saint-Michel Notre-Dame
Saint-Michel Notre-Dame
Station Vélib à 112 m
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Données Navitia / RATP / Opendata
Accessibilité
- Accessible aux personnes à mobilité réduite
- Non renseigné pour les personnes déficientes auditives
- Non renseigné pour les personnes déficientes visuelles
- Non renseigné pour les personnes déficientes mentales
- Accueil en langue des signes non renseigné
Accès de plain-pied au chevet par le 24 rue Sain-Jacques, face au 01 rue Saint-Jacques
Contacts
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Horaires
Pas d'horaires réguliers renseignés
Sur place
Infos pratiques
-
Toilettes : non
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WIFI : non
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Table à langer : non
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Distributeur de boisson : non
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Admission animaux : non
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Défibrillateur : oui
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Crédit photo :
©Jean-Baptiste Gurliat / Ville de Paris

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© Jean-Baptiste Gurliat / Ville de Paris

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© Jean-Baptiste Gurliat/Ville de Paris
En savoir plus
Au VIe siècle de notre ère, une chapelle est élevée à l’endroit où vécut et mourut un ermite nommé Séverin, dont la vie est connue par le récit de son contemporain, le petit-fils du roi Clovis, saint Cloud. Par la suite, une église romane est construite dont il ne subsiste aucun vestige. Au XIIIe siècle, une église gothique est éfifiée dans ce quartier devenu l’épicentre de la vie étudiante avec la fondation du collège de Sorbonne. Son charnier, galeries où étaient conservés les ossements, est alors l’un des plus importants de Paris. Les élements remarquables de cet édifice sont sa colonne torse, visible depuis l’entrée de l’église et ses vitraux, certains comptant aujourd’hui parmi les plus anciens de la capitale. Les aménagements témoignent du goût et des préoccupations des époques successives : au XVIIe siècle, la chapelle Mansart est érigée et le chœur remanié dans un style classique. Au XIXe siècle, le porche d’une église détruite (Saint-Pierre-aux-Bœufs) est remonté sur la façade et les chapelles latérales sont ornées de peintures murales et de vitraux. Enfin, en 1964, Jean Bazaine reçoit la commande de huit vitraux pour orner le déambulatoire