Lieu

Square du Temple - Elie Wiesel

Horaires

Du 27/10/2024 au 28/02/2025
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Lundi
  • 08 h 00 – 17 h 45
Mardi
  • 08 h 00 – 17 h 45
Mercredi
  • 08 h 00 – 17 h 45
Jeudi
  • 08 h 00 – 17 h 45
Samedi
  • 09 h 00 – 17 h 45
Dimanche
  • 09 h 00 – 17 h 45

Sur place

Équipement
  • Tables de ping-pong
  • Points d'eau potable
  • Aire de jeux
  • Bacs à sable
  • Brumisateur
jardin sans tabac
Infos pratiques
  • Toilettes : oui
  • WIFI : non
  • Table à langer : non
  • Distributeur de boisson : non
  • Admission animaux : non
  • Défibrillateur : non
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Se promener

L’ordre du Temple issu de la chevalerie chrétienne du Moyen Âge, siégeait ici jusqu’à sa dissolution en 1312. Ses biens sont alors attribués aux Hospitaliers (nom des frères de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem). L’enclos du Temple devient bien national à la Révolution. La Tour du Temple sert de prison jusqu’à sa destruction en 1808. Le palais de l’enclos du Temple subsiste, converti en gendarmerie puis attribué à une congrégation religieuse jusqu’à la révolution de 1848. Il est détruit en 1853. L’un de ses portails se trouvait à l’emplacement de l’entrée du square aménagé en 1857 par Jean-Charles Adolphe Alphand (1817-1891) lors des grands travaux du préfet Georges Eugène Haussmann (1809-1891).
Depuis 2017, ce jardin rend hommage à Elie Wiesel (1928-2016), écrivain, philosophe, prix Nobel de la Paix, survivant de la Shoah. Rescapé du camp d’Auschwitz, il est recueilli à Paris par l’Œuvre de secours aux enfants (OSE) située dans le 3e arrondissement. Grand témoin de la Shoah, Messager de la paix des Nations Unies, il a toujours voué une reconnaissance envers l’OSE qui poursuit aujourd’hui des actions auprès des personnes les plus vulnérables sur l’ensemble de Paris.
Les rayons du soleil scintillent au creux des deux bassins, éclairant les visages de deux statues en bronze imposantes conçues par Davioud en 1860 : l’Agriculture et l’Industrie de Gumery (1827-1871) et Mercure et la Musique de Ottin (1811-1867).
Les victoires napoléoniennes de l’Alma (1854), d’Inkermann (1854), de Tchernaia (1855) et de Sébastopol (1855) s’imposent sur une solennelle colonne en granit du Jura, non loin de laquelle vous découvrirez un plus modeste bronze représentant Marc Seguin, par Costa Spourdos (1987).