Lieu
Église Saint-Ambroise
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Église Saint-Ambroise
71 bis boulevard Voltaire, Paris 11e
71 bis boulevard Voltaire, Paris 11e
Saint-Ambroise
Richard-Lenoir
Saint-Ambroise
Station Vélib à 26 m
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Données Navitia / RATP / Opendata
Accessibilité
- Accessible aux personnes à mobilité réduite
- Accessible aux personnes déficientes auditives
- Non renseigné pour les personnes déficientes visuelles
- Non renseigné pour les personnes déficientes mentales
- Accueil en langue des signes non renseigné
Prendre contact en amont de la visite pour accéder à l'Église par le 1 rue Lacharrière, sur demande
Contacts
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Horaires
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Fermetures ou horaires exceptionnels :
-
Le 01/01/2026 - Nouvel an 2026Jeudi
- Fermé
Sur place
Infos pratiques
-
Toilettes : non
-
WIFI : non
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Table à langer : non
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Distributeur de boisson : non
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Admission animaux : non
-
Défibrillateur : non
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Crédit photo :
© Sophie Robichon / Ville de Paris
En savoir plus
À l’emplacement du square situé aujourd’hui devant l’église Saint-Ambroise se trouvait, au XVIIe siècle, l’ancienne chapelle du couvent des Annonciades de Popincourt. A la suite des travaux du baron Haussmann et du percement du boulevard du Prince-Eugène (ancien nom du Boulevard Voltaire) en 1862, l’architecture modeste de la chapelle contrastait trop avec les nouveaux immeubles haussmanniens. L’architecte Théodore Ballu, bâtisseur de l’église de la Trinité, est alors chargé des plans et de la construction de l’église Saint-Ambroise.
De 1863 à 1869, l’édifice est bâtie dans le style éclectique du Second Empire, un mélange de style roman du XIIe siècle et de gothique. Les commandes de peinture et de sculpture furent peu nombreuses. Dans les deux bras du transept, quatre grandes toiles marouflées de Jules-Eugène Lenepveu retracent les épisodes des vies de saint Ambroise et de saint Augustin (vers 1875). Dans le pourtour du chœur, des peintures murales d’Alphonse Jacquier et François Perrodin représentent les douze Apôtres. Enfin, dans la chapelle de la Vierge figure La Vierge à l’enfant, marbre sculpté par Eugène-André Oudiné (vers 1866).
A l‘extérieur, quatre grandes figures de prophètes, par Jules Cambos, Henri-Alfred Jacquemart, Ferdinand Taluet et Pierre Travaux, décorent la façade ; les tympans des portes du porche sont décorés de peintures sur lave émaillée par Joseph Devers. Tout le mobilier (maître-autel, stalles, chemin de croix...) ainsi que les vitraux de Charles-Raphaël Maréchal, sont encore en place et confèrent à l’édifice une remarquable unité.