Notre santé mentale fluctue en permanence, tout simplement parce qu’elle dépend de nombreux facteurs sur lesquels il est plus ou moins facile d’agir soi-même : des facteurs socio-économiques (ressources, logement, activités…), les événements que nous vivons (heureux ou malheureux), notre environnement et la dose de stress à laquelle il nous expose, notre hygiène de vie ou encore des facteurs biologiques, notamment génétiques. La recherche s’attèle à décrypter les mécanismes biologiques qui les sous-tendent pour améliorer leur prise en charge.
Sébastien Parnaudeau, chargé de Recherche au CNRS au sein de l’équipe Expression des Gènes et Comportements Adaptatifs du laboratoire Neuroscience Paris Seine-IBPS.
Henri Tsiang, scientifique, ancien chef de laboratoire à l’Institut Pasteur, expert en géopolitique et arts énergétiques chinois. Il effectue un travail sur les liens entre le qi gong et les neurosciences. Il a récemment publié Descartes au pays du Qi Gong (éd. Dunod).
Tous deux partagent leur expertise de praticien et de chercheur, autour de textes lus par la comédienne Emmanuelle Rigaud. Débat animé par le journaliste Guillaume Tixier.