Issu
des ultimes générations venues à
l’art construit,
Fabrice Ainaut développe à
sa façon les avancées de cette expression physique aux multiples
combinatoires, dont il a su tirer les dispositifs et les effets les plus
pénétrants, qui
déroutent les codes de perception attachés à l’inertie de l’image. D’abord
passé par les instances de l’orthodoxie géométrique dans le sillage
d’
Arden Quin, qui préconisait le procédé du
tableau transformable, il
gagne peu à peu son autonomie,
s’intéresse à l’art africain, se passionne
pour les
systèmes sériels et se tourne vers
le mouvement et son
inscription dans l’espace, au plus près des innovations du monde actuel…